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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

13 mai 2016 5 13 /05 /mai /2016 09:03

Efficacité du SAINT SCAPULAIRE…

En 1648, au siège d'Ypres par les Français, le capitaine du régiment de Lomboy reçut en pleine poitrine un coup de mousquet d'une force irrésistible. La balle dont il fut frappé, s'aplatit sur son scapulaire, de sorte qu'il n'en reçut pas la moindre égratignure. On trouva la balle dans ses habits ; elle portait très visiblement l'empreinte de l'image de la sainte Vierge et de l'Enfant Jésus. (Brocard, opus cit.)

Un homme qui avait failli à l'honneur, était bourrelé de remords. Pour se soustraire aux poursuites de la justice et aux tourments de sa conscience, il résolut de se suicider. Quoi qu'on puisse lui représenter, raconte le Père Milleriot, Jésuite, rien ne pouvait l'empêcher d'attenter à ses jours.

Lors d'une rencontre, le Père dit au malheureux : « Au moins, mon ami, accordez-moi une grâce ; je vais vous donner le saint scapulaire, promettez-moi de ne pas le quitter. » L'autre accepta l'of­fre, et s'en alla. Le Père se disait tout bas : « Mon ami, je te tiens... Tu peux essayer de te tuer si tu veux... tu n'en mour­ras pas. » Le même jour, le malheureux, obsédé par la tentation du désespoir, alla se jeter dans la Seine. Mais il ne parvient pas à se noyer quoiqu'il s'y précipitât à deux reprises et qu'il ne sût nullement nager. Il avait gardé son scapulaire, cela explique tout. Il fut cepen­dant très malade; touché d'une protection aussi mira­culeuse, il se convertit. (Chronique du Carmel d'Alost, Belgique, 1893.)

La sainte Vierge est fidèle à sa promesse du scapu­laire non seulement à l'égard de ses enfants de l'Église catholique mais elle secourt également les non catho­liques qui portent sa livrée. Il y a quelques années, un jeune prêtre commençait à exercer son ministère à l'hôpital Bellevue de New York. Un matin, un appel lui vint de la chambre d'un malade.

Aussitôt il se munit des objets nécessaires et se dirigea vers l'endroit d'où lui semblait être parvenu l'appel. Il s'approcha du lit du patient qui lui parut être bien près de sa fin, et demanda à ce dernier s'il aimerait à se confesser. « Je ne suis pas catholique », vint la surprenante réponse.

Confus, le jeune prêtre se tourna vers la garde-malade et lui dit : « Il doit y avoir erreur, cet homme dit qu'il n'est pas catholique » — « Pourtant, il porte un scapulaire, mon Père. »

Le prêtre retourna auprès du moribond et lui dit : « Si vous n'êtes pas catholique, pourquoi portez-vous un scapulaire ? »

— « Parce que des religieuses catholiques, qui recueillaient des aumônes près de notre usine m'ont prié de le porter. »

— « Bien, aimeriez-vous à devenir catholique ? »

— « O mon Père, il n'est rien que je désirerais autant ! ...»

Quelques jours plus tard, il s'éteignit doucement après avoir été régénéré dans les eaux du baptême. (Cf. Haffert, opus cit., p. 102.)

II y a quelques années, un journal, « The Irish Çatholic », rapportait un fait qui illustre bien le pouvoir que nous avons à notre disposition par le scapulaire.

Le Docteur Francis Zaldiia, ex-Président de la Colombie, en Amérique du Sud, était un magistrat éminent mais en opposition ouverte avec l'Église catholique. On doit lui attribuer, en partie, l'expulsion des Jésuites. Néanmoins, il avait un fils à qui il avait fait donner une éducation soignée, et qui était à terminer ses études au Collège américain, à Rome. Le jeune clerc qui se destinait à la prêtrise avait une dévotion particulière envers la Sainte Vierge. Bien qu'il eût prié la Madone avec instance pour obtenir la conversion de son père, tous ses efforts avaient été vains.

Après avoir été ordonné prêtre, le jeune Colombien retourna dans sa patrie. Quelques années après le retour de son fils, l'ex-Président tomba gravement ma­lade, mais il ne donnait nullement à penser qu'il son­geait à mourir en chrétien ; au contraire, il attendait la mort avec une placidité déconcertante, comme si la chose ne l'eût pas concerné.

Ceci jetait dans des tran­ses mortelles son fils prêtre, accouru auprès de son père mourant. Faisant une suprême tentative, et profondé­ment attristé, il dit à son père : « Cher père, tout ce que la science peut faire a été fait. N'aimeriez;-vous pas à recevoir maintenant quelque assistance spirituelle? S'il vous plaît, acceptez, ce scapulaire. »

Le mourant accepta la livrée de Marie, et peu après, il fit une confession générale et déclara, avec une joie marquée, vouloir mourir en fils soumis et repentant de la sainte Église. (Cf. Haffert, opus cit., p. 100.)

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