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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 20:40

Suite de la série d’article sur la véritable messe catholique

"Peut-on avoir confiance à des évêques excommuniés et à leurs prêtres également excommuniés parce qu'ils vont contre le décret du Pape saint Pie V, qui imposent, sans s'appuyer sur la sainte Écriture, la messe face au peuple, en s'appuyant sur un décret du concile qui n'en parle même pas ?

"LA REPONSE EST EVIDEMMENT : NON.

"Ainsi, nous venons de parler, avec précisions et détails, de la saloperie opérée par la pègre collégiale, sur l'essentiel de la vie chrétienne, comme source de la grâce divine : la sainte MESSE. La dégradation est tellement grave qu'un grand THEOLOGIEN : LOUIS BOUVIER, nommé récemment dans la commission de théologie par le Pape, qui n'a rien d'intégriste et qui, bien au contraire, est un libéral, dit dans son œuvre : 'LA DECOMPOSITION DU CATHOLICISME' : pages 144-145 :

"Une fois de plus, ici, il faut dire les choses sans ambages : il" n'y a pratiquement plus de liturgie digne de ce nom, à l'heure actuelle, dans l'Église catholique... Sous, le prétexte d' "ADAPTER" la liturgie, on a simplement oublié qu'elle est et ne peut être que l'expression tradition­nel du mystère chrétien dans toute sa plénitude de source jaillissante.". "Vraiment, pour annuler toute la valeur de la sainte MESSE, les crapules collégiales soumises à la cabale maçonnique, évolutionnistes et donc non croyantes, ont eu toute la facilité de s'attaquer à l'intouchable sacro-saint canon de la MESSE. Nous vous citons les mensonges de cette pègre collégiale publiés dans le 'BULLETIN NATIONAL DE LA LITURGIE', volume 3, août 1968, numéro 18. Il ne faut pas oublier qu'en vertu du décret de saint Pie V, cité précédemment, toute modification de ces textes attire, sans parler de l'auto-excommunication, la colère du Dieu tout-puissant et des apôtres saint Pierre et saint Paul. Les crapules collégiales utilisent l'habileté du mensonge, connaissant l'ignorance générale du public autant vis-à-vis du texte original que sur les termes utilisés dans leur exposé. Ils disent notamment à la page 75 : «Le décret de la Congrégation des Rites promulguant ces nouveaux textes".

Les crapules épiscopales, pour impressionner, disent : "promulguant ces nouveaux textes". OR promulguer, c'est l'attribution de l'autorité suprême : le Pape, le roi et les chefs d'État. La congrégation ne peut pas promulguer un texte sans avoir été sanctionné par le Pape. Le texte des nouveaux canons n'a pas été sanctionné par le Pape. Pour vous prouver nos affirmations, nous vous citons les déclarations du Pape publiées par le journal 'LA PRESSE' du 6 novembre 1968 :

"Le Pape a révélé que les conférences épiscopales elles-mêmes agissent "au-delà de ce qui est juste" et introduisent des rites qui sont en contraste évident avec les normes établies par l'Église. De telles façons d'agir offensent gravement la conscience des fidèles. Les rites et les formules liturgiques des prières, a conclu le Pape, ne doivent pas être considérés comme une affaire privée concernant les particuliers, la paroisse, le diocèse ou une nation quelconque, mais comme la propriété de l'Église universelle. Et il n'est permis à personne de changer ces formules.".

"Voici une autre preuve de la mystification de la pègre  collégiale, publiée par le bulletin mensuel :   'LUMIERE' de Paris,  avril  1969 : "Nous  sommes  heureux,  grâce  au  commentaire   de   notre   ami, l'abbé Coache, de pouvoir en apporter une nouvelle preuve, diffi­cilement réfutable et qui ne sera pas réfutée :

"Son Éminence le Cardinal GUT, préfet de la Sacrée Congrégation des Rites et Président du Consilium pour l'application de la Consti­tution sur la Liturgie, ayant reçu en audience le jeudi 13 février 1969, et avec beaucoup de bienveillance, M. l'abbé COACHE, lui a déclaré en présence de deux témoins — deux archevêques — : — Le latin demeure la langue liturgique normale de l'Église et la langue vernaculaire ne doit être utilisée qu'à des conditions très spéciales. L'Église souhaite que le Canon de la Messe soit dit habituellement en latin. 

 

— Son Éminence a déploré que, par un effrayant renversement des choses, la langue vernaculaire soit devenue souvent la langue habi­tuelle au détriment du latin qui devrait garder sa place primordiale.

— La Communion à genoux demeure l'attitude normale pour recevoir le Corps du Sauveur. Jamais un prêtre ne peut s'arroger le droit de refuser la Sainte Communion à un fidèle la demandant à genoux.

— Jamais, a précisé Son Éminence, nous n'avons donné en France une seule permission pour autoriser la Communion dans la main ou encore la Communion donnée par un laïc  (Son Éminence a répété cette phrase plusieurs fois). Son Éminence a d'abord auto­risé,   puis   exhorté   M.   l'abbé   COACHE   à   faire   connaître   la substance de cet entretien et sa position très ferme en tant que chef de ce dicastère. Son Exc. Mgr ANTONELL1, Secrétaire de la Sacrée  Congrégation,  fut  invité  par  le   Cardinal   GUT   à  venir participer  à cette  audience et  Son  Excellence  s'est montrée,  de son côté, extrêmement ferme sur les points cités plus haut.". "Passons maintenant à la citation  de quelques mensonges  collégiaux faits  pour justifier les changements  du  CANON.  A  la  page  75,   le même  BULLETIN  NATIONAL  DE  LA  LITURGIE  dit :

"Jusqu'ici, dans la liturgie romaine, il n'y a toujours eu qu'un seul formulaire du canon (une garantie de l'unité de l'Église), et ce n'est que tout récemment qu'on a commencé à le dire dans une langue comprise du peuple.".

On a si bien compris que, maintenant, tous, les évêques les premiers, crient en chœur avec la sœur belge : sœur 'SOURIRE' : "NOTRE PERE, DONNEZ-NOUS LA PILULE.".

"Continuons avec les mensonges collégiaux de l'épiscopat (même source) :

"Mais, dans les autres Églises chrétiennes, on a toujours admis une pluralité plus ou moins grande de canons utilisés en diverses occasions.".

C'est sans doute la raison qui a conduit ces églises à se démolir, chez les orthodoxes, en devenant églises nationales, chez les réformés, en en acceptant les règles de la démocratie. Nous devons aussi ajouter que l'affirmation d'une pluralité de canons chez les orthodoxes est un mensonge et en plus un mensonge collégial.

"Désormais la liturgie romaine, dit la pègre collégiale,  aura, elle aussi, plusieurs canons utilisés selon certaines règles  (sic), et qui pourront être dits également en langue vivante.". Vraiment, dès maintenant, les canons peuvent être dits même en dia­lectes et sont si variés qu'ils n'ont entièrement rien de saint, rien de la prière. Plus tard, ils seront un vrai folklore à la gogo, à la to-to, à la frou-frou, à la fou-fou... Enfin, les fous auront aussi leur canon et ce sera  l'anarchie.   Pour  ne  pas   douter   de   nos   affirmations,   voici   la continuation de la bulle nationale :

"Les solutions adaptées pour résoudre les problèmes qui se posent (sic) dans la composition d'un canon peuvent varier assez souvent, et chacune d'elles peut avoir ses avantages.".

C'est vrai, bien vrai parce que la prière doit correspondre à l'esprit de chaque personne, selon la sagesse collégiale; si elle est sexée, elle exigera la pilule; donc, aussi un canon selon son désir, adéquat; si elle est ivrogne, un canon correspondant à son état. Le 4e canon correspond parfaitement aux ivrognes qui seront pleinement satisfaits. Pour mieux nous éclairer, nous citerons partiellement les nouveaux canons. Auparavant, encore une explication


            de la bulle nationale épiscopale :

"Les trois nouveaux canons se distinguent en particulier par leur pureté de ligne et la clarté de leur composition; ... le canon 2 est très court et extrêmement simple :". C'est bien juste parce que la compréhension est déterminée par le court métrage et aussi parce qu'ils s'inspirent notablement du canon d'Hippolyte, que tout le monde   connaît.   Mais, ne   pas  confondre   saint   Hippolyte   avec l'hippolyte dont les  évêques parlent.  Saint  Hippolyte ? Pour  les évêques,  ils  ne   connaissent  pas !   Us  parlent  d'Hippolyte   de  la mythologie  grecque !  Ensuite,  selon  la  cabale   maçonnique, "Le 3e canon est de longueur moyenne,  avec  une  physionomie nettement occidentale,"  (c'est-à-dire avec celle des cochons). Cette longueur moyenne est parfaitement acceptable, est facile à com­prendre en considérant que ce canon est fait à la mesure de chacun, donc démocratiquement : Vox Populi — Vox Dei. Enfin, pour le 4e canon, les évêques disent : "Le canon 4, grâce à sa préface fixe, peut déployer la synthèse très complète de l'histoire du salut, et se rapproche plus que les autres des canons orientaux.".

Voilà une autre phrase stupide et imbécile de la sagesse épiscopale collégiale.

"Le canon, grâce à sa préface fixe" : donc l'essentiel est que la préface soit fixe. Il semble qu'ils soient en désaccord avec le principe préconisé dans la béatitude de la mobilité par le cardinal errant ! Une autre absurdité qui est difficile à comprendre : c'est quand ils disent : "Le 4e canon... peut déployer la synthèse très complète de l'histoire du salut,". Ils parlent de quelle histoire ? De la Révolution ? Ils parlent du salut ou des 'SALOPS' ? Ils disent encore que "le 4e canon s'appro­che plus que les autres des canons orientaux." Si le fait de s'approcher des canons orientaux (en réalité, c'est un mensonge collégial) est une bonne chose, nous devons conclure que les orthodoxes seraient plus fidèles à l’Évangile, donc meilleurs que les catholiques ! Alors, pourquoi les autres canons ne sont-ils pas tous faits de la même manière ? Ou pourquoi ne pas avoir copié fidèlement ces canons orientaux et pour­quoi les évêques ne se déclarent-ils pas tout simplement orthodoxes ? Quelle stupidité ! Quelle aberration ! On traite le canon de la messe comme les femmes traitent leurs problèmes de mini-jupes; pour quel­ques-uns, c'est plus court; pour les autres, c'est plus long; tout cela, selon la mesure de chacun.

"Passons maintenant à l'analyse de ces nouveaux canons par rapport au vrai canon, c'est-à-dire le canon romain. Dans le premier, ils disent : "Prenez et mangez-en tous, car ceci est mon corps.". Le texte latin traduit correctement dit : "Prenez et mangez-en tous; ceci est vraiment mon corps.". Ont-ils éliminé l'adverbe 'VRAIMENT' pour se con­former à leur principe : 'LA PURETE DE LA LIGNE ET LA CLARTE DE LA COMPOSITION' ? Qui peut croire qu'en enlevant le mot 'VRAIMENT' on serait plus clair, on saurait plus clairement qu'il s'agit du corps de Nôtre-Seigneur ? Seuls les fous et les canailles peuvent accepter un tel jugement. Ils font la même omission pour la consécration du vin. Ils désobéissent au décret de saint Pie V, car, selon son décret, il ne faut rien changer, pas même le latin. Dans le 2e canon, les évêques enlèvent en plus du mot 'VRAIMENT' le pronom 'tous' toujours sous prétexte d'un style plus pur et plus clair (sic). Le 3e canon fait les mêmes omissions et les mêmes erreurs avec une différence tragico-comique. 

       Pour la consécration du pain, ils ne veulent pas l'offrir à tous. Peut-être, pour considération des régimes alimentaires. En ce qui concerne la consécration du vin, ils reviennent au texte du premier canon modifié cependant par rapport au vrai canon romain, en disant : "Prenez et buvez-en tous.". Tout cela nous porte à croire ceci : les évêques ont trouvé, après presque 2000 ans, qu'il y a des fidèles qui ne veulent pas de pain; c'est pourquoi ils ont éliminé le pronom tous dans la consécration du pain. Mais, en arrivant à la consécration du vin, ils l'offrent à tous. Ce qui veut dire : selon le 3e canon, il doit y avoir deux sortes de communiants : ceux qui prennent seulement du vin et ceux qui prennent les deux : le pain, c'est pour ceux qui le désirent, mais le vin, c'est pour tous. Et tout cela, pour garder au canon "la pureté de la ligne et la clarté de la composition" ! "Le 4e canon : ici, il y a une innovation très progressive en ce qui concerne la consécration du vin. Quant à la consécration du pain, ce canon reste semblable à la formule du 2e et du 3e canon : il se refuse à donner du pain à tous. Les évêques agissent par prudence, probable­ment: Ils prévoient le cas d'une sécheresse, d'une famine, d'une mauvaise production, surtout dans les pays communistes où toujours manque le pain ! Mais, quand ils arrivent à la consécration du vin, les évêques ont pensé aux pauvres ivrognes en faisant dire aux prêtres : "Il prit la coupe 'REMPLIE' de vin". On peut s'imaginer quelle joie et quel banquet à la messe où sera dit le 4e canon ! Nous sommes presque disposés à croire que c'est celui-là, le 4e canon, qui fera l'union de tous les chrétiens ! Ainsi, par la "COUPE REMPLIE DE VIN', on arrivera au vrai œcuménisme ! Voilà la sagesse de la collégialité cabalistique et de la bande qui suivent cette pègre. Voilà le résultat du travail de la cabale maçonnique introduite dans l'Église par Béa 'CONSTR1CTOR' et écoutée, obéie aveuglément par la pègre collé­giale. Les évêques se moquent de ce qui est le plus cher, le plus noble pour les vrais catholiques : la Présence REELLE de Nôtre-Seigneur dans Son adorable sacrement. Cette moquerie vient de la part de ceux qui se prétendent 1s successeurs de Ses apôtres. Qui pourrait croire qu'ils sont inconscients de tous ces sacrilèges, qu'ils ne font pas ce travail en position commandée par la cabale maçonnique, c'est-à-dire l'Église de Satan ?

      "Nous regrettons de ne pas pouvoir faire une analyse détaillée de toutes les erreurs et de tous les sacrilèges que contient la bulle épiscopale nationale, dans les 4 canons proposés par eux, mais nous pouvons vous assurer que ces 4 canons sont exactement aussi invalides que toute la messe imposée par la pègre collégiale. "En résumé, nous pouvons affirmer que les quatre canons sont invalides parce qu'ils vont contre le concile de Trente qui détermine la forme

requise pour la validité de la consécration. Le concile de Trente dit : "NOUS  POUVONS TENIR POUR CERTAIN que  cette forme du sacrement de l'Eucharistie  à la  deuxième  consécration de la messe est  ainsi  formulée :   'CECI  EST  LE  CALICE  DE  MON SANG, DE LA NOUVELLE ET ETERNELLE ALLIANCE, LE MYSTERE DE LA FOL QUI SERA VERSE POUR VOUS ET POUR  PLUSIEURS, POUR LA REMISSION DES PECHES.".

 (à suivre)

 

 

Extrait de : RESTAURATION CHRETIENNE    VOLUME II, (épuisée)

Auteur : EMILE M. HORJA 

 

elogofioupiou.over-blog.com

 

 

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